Utilisation :
Cette très vieille variété autrefois cultivée dans les monastères et les jardins de curé est de nos jours très utilisée.
En cuisine : Ses grandes feuilles légèrement fourchues sont plus anisées et épicées que l’estragon français. Elles s’utilisent fraîches en salade avec les carottes râpées ou le chou cru, en omelette ou cuisinées avec les viandes blanches.
On peut le sécher ou le congeler frais pour l’hiver.
Au jardin : Il est plus rustique que les autres estragons et redémarre toujours au printemps. De fort développement, il produit abondamment du début du printemps à l’automne. Il faut lui prévoir un peu de place, mais il le mérite bien.
Carla –
Bonjour,
Il faut vous relire, les amis.
« Au jardin : Il est plus rustique que les autres estragons et redémarre toujours au printemps. De fort développement, il produit abondamment de la fin de l’hiver à l’automne. »
S’il redémarre au printemps, il ne peut pas produire de la fin de l’hiver à l’automne. Ou alors il manque une explication à ce paradoxal phénomène ! Amicalement.